Henrique Capriles, candidat de la droite décomplexée au Venezuela
28 février 2012
“Jeune”,
“doté d´une solide expérience politique”, ”de centre-gauche”… Les
qualificatifs sur ce registre abondent dans la presse française pour
décrire Henrique Capriles Radonski, le candidat de l’opposition à
l’élection présidentielle du 7 octobre prochain au Venezuela. Cette
description ressemble fortement à celle faite de Manuel Rosales,
candidat malheureux de la droite à l´élection présidentielle de 2006
remportée haut la main par Hugo Chavez. Elle vise à donner une image
édulcorée et rassurante du candidat hors des frontières du Venezuela. Lire la suite
Au Venezuela, une campagne présidentielle en suspens
2 mai 2012
“Au
revoir, peuple vénézuélien, je m´en vais à La Havane. Je reviens dans
quelques jours”, déclarait le président Chávez depuis l´aéroport
international de Maiquetía, situé en banlieue de Caracas. Il annonçait
ainsi à ses compatriotes un nouveau cycle de radiothérapie, tout en
rassurant ses partisans : “Tous les signes vitaux réagissent bien. Grâce
à l´amour que me donne le peuple, je continue la lutte’’. Lire la suite
Comment habiller le libéralisme en « progressisme » au Venezuela
21 mai 2012
Le
programme de la Table de l’unité démocratique (MUD) - qui regroupe les
partis et organisations soutenant la candidature de Henrique Capriles à
l’élection présidentielle d’octobre prochain au Venezuela - est
idéologiquement très libéral, malgré une rhétorique médiatique
prétendant le contraire. Le fil conducteur des 166 pages et des 1 237
articles de ce document est le triptyque
décentralisation-autonomie-privatisations. Lire la suite
Les stratégies à risque des opposants à Hugo Chavez
25 juillet 2012
La
campagne électorale bat son plein au Venezuela. Sept candidats sont en
lice pour se disputer, le 7 octobre prochain, la présidence de la
République. Parmi eux, Yoel Acosta Chirinos, ancien compagnon d’armes de
Chávez lors de la tentative de coup d’Etat du 4 février 1992 ; Orlando
Chirinos, syndicaliste trotskyste farouchement opposé aux politiques
gouvernementales ; Henrique Capriles Radonski, candidat de la Mesa de
Unidad Democratica (MUD), plateforme qui regroupe les partis néolibéraux
; et, bien sûr, Hugo Chavez, qui brigue un nouveau mandat. Lire la suite
Tentative d’exploitation électoraliste d’une tragédie
11 septembre 2012
La
campagne électorale pour l’élection présidentielle suit son cours au
Venezuela. Le président Hugo Chávez laisse sporadiquement la place au
candidat Hugo Chávez lors de ses déplacements dans les provinces du
pays. Ces grands meetings attirent des foules immenses de sympathisants
et militants. Lire la suite
Cherche opposition démocratique de toute urgence
10 novembre 2012
Parler
de l´opposition au processus socialiste en cours au Venezuela nous
oblige en premier lieu à la définir. Du point de vue politique, cette
opposition reste largement hétérogène. Elle regroupe des petits partis
venant de la mouvance de gauche (1), des partis sociaux-libéraux (2), et
bien sur, l´éventail de la droite vénézuélienne, de la démocratie
chrétienne aux héritiers des Chicago Boys (3). L´union de ces partis
d´opposition est stratégique ou idéologique. Au fil des années, ils ont
tout de même su amoindrir leurs différences afin de conquérir de
nouveaux espaces électoraux. Lire la suite
Español
Con los hijos de los demás ¡Métete!
30 de enero de 2012
La
reciente publicación de fotografías en las redes sociales donde se
exhibe a un grupo de adolescentes pertenecientes a un colectivo del 23
de Enero portando armas de fuego, desató comentarios sorprendentes por
parte de unos candidatos de la oposición y de sus seguidores. Frente al
retrato de los jóvenes armados, los esbirros de la contra-revolución
atacan al Gobierno y a Hugo Chávez por, supuestamente, “propiciar un
ambiente de violencia”. En otros términos, los acusaron de no fijar
posición frente a este hecho. Resulta insólito ver a una María Corina
exigir del Estado que se meta con los hijos de los demás…. Ver artículo completo
Los indignados: Avance y limites de un movimiento20 de marzo de 2012
Inspirándose
en las movilizaciones populares contra los gobiernos autoritarios de
Túnez y Egipto, un grupo de jóvenes españoles iniciaron movilizaciones a
finales de marzo de 2011. Los jóvenes, primeras víctimas de la crisis
que agobia a España (45% de los desempleados son jóvenes trabajadores),
se alzaron contra la precariedad, el alto costo de la vida, y el de la
educación universitaria. En los días siguientes, se crean varios
colectivos (Tomalaplaza, Jóvenes sin fututo, Democracia real Ya, entre
otros) que aglutinaron a los manifestantes, los cuales se dieron una
visibilidad permanente, fijándose en la Plaza del Sol de Madrid. Ver artículo completo
El Club Deportivo Lara: ¿Capitalismo o Comuna?
12 de noviembre de 2012
Erase
una vez un equipo de futbol en el Brasil de la dictadura militar que
pasaba por un mal momento financiero y deportista. La gran mayoría de
sus jugadores no ganaban las fortunas que hoy suelen ser los salarios de
un Ibraimovitch o de un Cristiano Ronaldo. Ver artículo completo